1975, rencontre avec le responsable d'un club de spéléologie en région parisienne...
Par la suite, et connaissant mon engouement pour la photo, celui-ci m’avait proposé de me faire participer à des expéditions dans des « trous » situés dans le département du Lot ; et organisées pour y faire en même temps des prises de vues. Électromécanicien, il m’avait confectionné des équipements pour le transport du matériel dans toutes les situations : chocs importants, eau, boue, progression dans des cavités exiguës et descentes en rappel.

Les techniques de progression en milieu souterrain étaient sensiblement les mêmes qu’aujourd’hui , à cette différence près que si les puits était descendus en rappel, nous les remontions à l’aide de petites échelles souples en câble d’acier. Aujourd’hui les remontées s’effectue aux « Jumars »...
Quant au reportage photo, mon intention était de le proposer au magazine GEO…

Mais plus tard, et juste après l'avoir montré au magazine, un autre reportage réalisé dans une cavité située au Mexique leur fut également proposé. Cette cavité détenait alors (sauf erreur) le record du puits d'accès le plus profond au monde avec une hauteur de 300m ; soit trois fois celui de Padirac !... Et cela avait donné matière à une image où on pouvait voir le même spéléologue au cours de la descente et pris tous les 40 ou 50 mètres (?) ; celui-ci éclairant à chaque fois la zone d'un coup de flash.
C'était une photo géniale dont mon reportage ne comportait pas d'équivalent… J'avais donc dû me contenter par la suite de ventes ponctuelles de mes photos en agence…
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